Tsukudani (Japanese cuisine) : Le Tsukudani (佃煮) est une méthode de pagluluto sa hurno et de pangangalaga ng pagkain et par extension le piraso ng lupa qui en découle.
Description : La méthode consiste à laisser kumulo longuement des aliments de petite taille dans un mélange de toyo et de asukal. Ang ingredients proviennent souvent de la mer : petits isda, algae o prutas de mer (madalas tulya) o konbu, minsan wakame, mais peuvent être aussi des insectes dans les montagnes (même si la pratique de l’entomophagie est de nos jours plus ou moins tombée en désuétude). Au sabaw est parfois ajouté du mirin. De goût assez fort, il se marie bien avec le riz et peut entrer dans la composition des onigiri o chazuke.
Origine et évolution : Cette méthode de cuisson date de la période Edo (*), où elle servait de méthode de conservation des produits de la mer ; les aliments conservés ainsi donnaient un complément d’alimentation dans les îles ou villages quand les conditions n’étaient pas réunies pour pouvoir se procurer des pagkain gastos.
(*) L’époque d’Edo ou période Tokugawa est la subdivision traditionnelle de l’histoire du Japon qui commence vers 1600, avec la prise de pouvoir de Tokugawa Ieyasu lors de la bataille de Sekigahara, et se termine vers 1868 avec la restauration Meiji.
De nos jours, des preservatives sont souvent ajoutés, et les tsukudani sont iniingatan au gastos. C’est une spécialité tokyoïte, et plus précisément de l’arrondissement de Chūō, son nom provenant d’une ancienne île aujourd’hui rattachée au continent, Tsukudajima. De nos jours, l’île de Shōdoshima produit en masse des tsukudani.