Rouff (Marcel) : Marcel Rouff est un écrivain poète, historien, biographe, romancier et essayiste suisse qui vécu à plusieurs reprises à Paris, dont au 8 boulevard Émille Augier de 1920 à sa mort. Chevalier de la Légion d’Honneur (1921), il fut naturalisé français en 1930 tout en conservant sa citoyenneté genevoise. La postérité le connait pour son roman La Vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet, plusieurs fois réédité, mis en images, en bande dessinée, en particulier le chapitre Dodin-Bouffant, un pot au feu et une altesse.
Siya ay ipinanganak sa Carouge (canton ng Genève) en Suisse le 4 mai 1877 et mort à Paris le 3 février 1936.
Biographie de Marcel Rouff : Fils de l’éditeur Jules Rouff et de Camille Veil son épouse, il quitte la communauté juive genevoise à l’âge de 6 mois pour leur appartement parisien. Il fut élève de l’école Monge (devenue Lycée Carnot en 1894) avant de poursuivre des études de lettres à la Sorbonne.
C’est là qu’il rencontre curnonsky pour qui il aura une amitié durable, avec qui il écrira La France Gastronomique, un des premiers guide touristique et gastronomique, qui est le personnage central de son roman Guinoiseau, ou le Moyen de ne pas parvenir (1926), et avec qui il fondera l’Académie des gastronomes (1929) dont il occupe le 6éme fauteuil Honoré de Balzac.
Ses premières publications sont des recueils de poésie, suivent sa thèse de doctorat sous l’influence de Jean Jaures dont il est proche : Les Mines de charbon en France au XVIIIe siècle suivie d’une thèse complémentaire Tubeuf, un grand industriel français au XVIIIe siècle (1922). C’est lors de ses séjours d’étude dans le bassin de Decazeville qu’il rencontre Juliette Bloch-Tréfousse qu’il épouse en 1911. Ils eurent 2 enfants : Nicole (1913) et Jean-Jacques (1916, année où il regagne la Suisse jusqu’en 1920). Pendant la guerre, il rédige des chroniques pour La Tribune de Genéve. Suivront de nombreux romans, nouvelles, mais aussi des biographies : une évocation de la vie d’Hortense Schneider, une volumineuse Vie de Chateaubriand (1929) et un roman sur le thème de sa passion pour l’alpinisme : L’homme et la Montagne (1925). Ce livre plein de descriptions fabuleuses des Alpes a également une dimension autobiographique: le personnage principal, guide de montagne, est amoureux d’un fille de Chamonix (Catherine Vidonne) qui ne rêve que de quitter sa vallée pour Paris, ce qu’elle fera, le laissant seul à sa passion pour la montagne. L’épouse française de Marcel Rouff aurait été à l’origine de leur retour à Paris en 1920.
Marcel Rouff était un homme parfois contradictoire, comme son coiffeur Lefrisol (Le Grand Léonard) « ses aspirations à l’esprit libre,… l’entraînait vers les plus extrêmes partis de gauche. mais d’autre part son goût pour le distingué, le comme il faut…l’éloignait de la plèbe…il fréquentait le leader des royalistes… il finissait par déposer dans l’urne un bulletin blanc ». Curieux du monde (il visite entre 1896 et 1910 l’Europe, l’Amérique du Nord, le Proche et le Moyen Orient, la Chine ) il reste ardemment nationaliste et francophile. Amateur de montagne et de campagne, il adore la vie parisienne, fréquente des artistes, des hommes de lettre, des politiques, des éditeurs et de nombreux gastronomes.
Son plat préféré, pour le moins qui revient les plus souvent dans ses romans, est la manok sa paraan ng crème, il aime les vins de Bourgogne et de Loire. Sa gastronomie est fortement teintée de régionalisme, du goût du terroir, De resibo locales. Il fut un gros mangeur, il fumait beaucoup, il est mort d’un cancer de la gorge à 58 ans. Il repose au cimetière de Sèvres, son piolet à ses côtés, sous une pesante dalle de granit des Alpes.
Dodin-Bouffant : La vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet (1920, puis 1924 sous sa version augmentée), raconte sous une forme humoristique la vie d’un gastronome passionné. Il est inspiré de Lucien Tendret, Brillat Savarin et des grands gastronomes français du XIXe siècle à qui il fait référence (La Reynière avait admis dans ses diners un abbé Dodin, gourmand délicat, dont Cadet de Gassicourt écrira l’histoire).
Dodin s’est incarné au cours des repas et des voyages de Rouff avec Curnonsky qui va jusqu’à écrire « l’an dernier (1920), nous fîmes, Marcel Rouff et moi, avec notre ami Dodin-Bouffant, un premier voyage d’études préliminaires en Aunis et Saintonge… » .
Dodin-Bouffant est un magistrat retraité qui, dans sa demeure de Belley, voue sa vie à la gastronomie élevée au niveau des arts majeurs. Il a réuni un petit cénacle de quatre amateurs (« natures d’élite, dont la sincérité fut aussi haute que l’érudition, la faculté de sentir aussi développée que la délicatesse du goût ») qui se retrouvent pour un diner le mardi soir dans la salle à manger du maître.
La vie de Dodin-Bouffant n’est pas sans rappeler celle de Brillat Savarin.
Dans le premier chapitre, Dodin perd d’un accident vasculaire sa cuisinière (et maîtresse) Eugénie Chatagne, il ne la remplacera qu’au terme de longues recherches par une paysanne bressane, Adèle Pidou, qui lui fait vivre « des jours doux et parfumés, une abondance de délices sous le charme de repas attendrissant dont chacun était une allégresse nouvelle »… Ayant accepté l’invitation du Prince d’Eurasie (aristocrate qu’on retrouve dans Guinoiseau) il subit un repas prétentieux et « sans lumière ». Il décide d’inviter le prince en retour pour un repas qu’il compose « simple et concis » de « 4 petits plats » dont le principal est un pot au feu et le menu (servi dans une « porcelaine de vieux Nyon à petites fleurs bleues ») : « Les friandises avant le potage, Le potage Adèle Pidou, Les fritures de Brillat Savarin, Ang pot au feu Dodin-Bouffant paré de ses légumes, La mash patatas Soubise, Les desserts, Vins blancs de coteaux de Dézaley et de Château-Grillet, rouge de Chateauneuf-du-Pape, de Ségur et de Chambolle…. C’était tout ».
Les convives éprouvent une très profonde déception à entendre le menu, « à cet instant l’anxiété plana sur les êtres et sur les choses où ceux qui vivent souhaitent que la terre s’entrouvre tout à coup et les engloutissent. » Suit un chapitre de description épique du fabuleux repas et du pot au feu « prodigieusement imposant » dont la vision provoque chez les convives « plusieurs minutes de réel ahurissement » puis des réactions d’admiration sans bornes. Le Prince cherche par la suite à engager Adèle, manœuvre que Dodin déjoue.. en l’épousant.
Non que l’envie lui en manque, il reste fidèle à Adèle lors d’un déjeuner en tête à tête avec Pauline d’Aizeri, donnant priorité aux canetons rôtis. Dans les derniers chapitres, atteint de goutte et de coliques néphrétiques, le couple Dodin compose une époustouflante diète de poisson (régime sans viande) et subit le supplice d’une cure d’eau à Baden-Baden. Le livre se termine par le serment « achevons nos existences dans le culte de la chère et dans la joie de notre foyer… il avait pris par dessus la table les mains d’Adèle, comme s’il lui demandait ce serment sur le souvenir du gâteau merveilleux de foies blonds et sur les nobles bouteilles vides.»
Comme dans La France gastronomique ou d’autres romans le texte est parsemé de resibo de cuisine plus ou moins mythiques et de descriptions de prodigieux vins. La recette d’un pâté – dont on ne trouve aucune trace dans la littérature – servi lors de l’admission du 4e membre du cénacle est souvent citée : « sur son assiette on dépose le premier pastry sa paraan ng Choisy qui se fait, comme chacun sait, de partridge walang buto ang mga bagay na mayroon tayo pinalamanan ng kanilang mga bangkay (binatukan sa mga atay) Ng truffle, De menu mantika at pampalasa ordinaires, perdrix qu’on a pinahiran de foie gras disgorged et blanchis, lardés d’dilis frais, et qu’on fait cuire dans une masa légère en les nourrissant d’un bon mantikilya et baptisant la fin de la cuisson d’un demi-verre de vieille brandy. cet mga entremet plus qu’honorable … ne s’accommode parfaitement que d’un vieux vin de Saint-Gilles à demi nakakaulol, doté par un âge respectable d’une générosité qui n’est jamais le fait de la jeunesse et d’une chaleur tempéré, déjà emprunte de crépuscule.».
Le pot-au-feu Dodin-Bouffant : Le pot-au-feu proprement dit est décrit en un unique paragraphe précédé et suivi des réactions de convives. « Trifouille était pris d’un saisissement panique devant tant de génie … »
La maglaro de karne ng baka – dont la upuan dulo était brisante et friable – était pinunasan de saltpetre, maalat, mabango upangtarragon et tinamaan kunti lang cubes de mantika. Ces hiwa s’appuyaient mollement sur un oreiller de sausage de baboy, De karne ng guya tinadtad sapat malaki, Ngherbs, De tim et de chervil, cuit dans le même sabaw na karne ng baka… Elles même soutenues par une ample découpade de manok (nourrie de sakit basang-basa sa gatas) sinigang may isang shank de karne ng guya… qui reposait à leur tour sur une confortable patong de foie d’gansa frais simplement cuit au Chambertin. Cette superposition formait des parts marquées par un enveloppement de légumes cuits dans le sabaw et passés au mantikilya. Le tout accompagné d’un Chambolle-Musigny nuancé, complexe et complet.
Le prince allait pouvoir raconter dans les cours royales « qu’il avait dégusté le plus prodigieux pot au feu qu’on puisse imaginer ».
Postérité : Une adaptation télévisée en fut réalisée par Jean Ferniot en 1973. Marc Dudicourt interprétait Dodin.
Le pot au feu Dodin-Bouffant est au menu de kay Maxim en 1962. En 1968, le chef Jacques Maniere ouvre à Paris (24, rue Frédéric-Sauton, 5e) le restaurant Dodin-Bouffant qu’appréciait en voisin le président de la république François Mitterrand (1916-1996). Il y met au point avec et son apprenti Daniel Lavergne un repas inspiré des pages de Marcel Rouff, la spécialité est la poularde à la vapeur, façon de cuire la poularde à la crème donnée par Lucien Tendret. Stéphane Gaborieau y fit ses débuts comme apprenti.
De nombreux chefs talentueux (Jean Barnagaud chez Prunier l’aurait exécuté 2 fois en 1970 selon Robert J. Courtine, Raymond Oliver, Marc Meneau, Jean-François Trap…) s’essaieront au difficile exercice de cuisiner le pot-au-feu légendaire et fantastique. Dans les années 1970, le Fouquet’s servait un pot-au-feu royal de Dodin-Bouffant en 3 services et 12 plats.
Yannick Alleno réussit au Meurice un démesuré Grand pot au feu Dodin-Bouffant en 5 services du même acabit avec des mga sisidlan en proportion 19 (Judru lyonnais au sabaw, aiguillette de karne ng baka et mga crouton de utak ng buto au malunggay, kumukonsumo double aux mushroom, jarret de veau à la gawaan ng kuwaltang metal at thyme at mga gulay, Bresse poultry au foie gras de pato au Chambertin avec mash patatas Soubise… Bonnes-Mares 1994). François Simon écrit (2012) « qu’il faut venir solidement charpenté pour ce voyage dans le temps car ce sont des secousses à la fois rudes et raffinées qui vous font perdre toutes notions … ».
En 2014, parait une adaptation en bande dessinée, réalisée par le dessinateur belge Mathieu Burniat.
Bruno Fuligni, (2015) dans sa Folle histoire – Les gourmands mémorables estime que Dodin-Bouffant et Marcel Rouff méritent de rejoindre le Panthéon.
Œuvre littéraire de Marcel Rouff :
Le bonheur d’écrire et de décrire
Marcel Rouff aime écrire un français qu’il qualifie de « scrupuleux » – ce qui le fera traiter de laborieux 22 – fait de phrases longues riches d’adjectifs, de qualificatifs et de précisions.
Sa prose descriptive est facile pour lui, il aime les brèves descriptions émouvantes de la nature (à la manière de Lucien Tendret décrivant l’ascension du Colombier 23) des villes et des lieux… entrecoupées de peintures précises de repas, de bon vins et de portraits de femmes. La forme, le style sont plus importants que le fonds dans de nombreuses nouvelles et romans (il s’essouffle rapidement) à l’exception de Dodin-Bouffant qu’il a longtemps médité.
L’ironiste (qualificatif de Curnonsky dans Guinoiseau)
Guinoiseau (alias Curnonsky), roman paru en 1926, ill. Joseph Hémard
Selon un mécanisme décrit dans Guinoiseau ou Le moyen de ne pas parvenir 24 (dont le titre est inspiré de l’oeuvre de Béroalde de Verville), il part d’une trame courte, d’une histoire à habiller. La dimension irrationnelle, provocante, incroyable de la trame est toujours présente : L’Homme que l’amour empêcha d’aimer est un Don Juan qui fuit les femmes, dans Vous qui l’avez connue, une femme-Janus tyrannique bourreau de son mari, côté face, et côté pile, amante exemplaire, douce et constante d’un enseignant, va attirer une fois morte le second vers sa tombe et le premier dans le lit de la femme du second.
La province : Le monde provincial est propice à l’invention de personnages sans intérêt aptes à être l’objet de description superlative. Le Grand Léonard est un roman typique qui se déroule dans une ville provinciale dénuée de tout attrait et dont le personnage central est le coiffeur mythomane Lefrizol… inventeur d’amours fabuleuses qui lui vaudront la vengeance bien réelle de sa compagne, la molle Isabelle.
La nostalgie : Rouff aime un passé nostalgique, le mot vieux revient souvent sous sa plume, pour patiner les choses, pour donner une richesse, une affection : la vieille cuisine de France…
« J’ai mis l’âme de nos vieux rêves
Dans un piano, le long des grèves.
Ainsi, parfois,
Le vent, sur les touches d’ivoire,
Revient remémorer l’histoire
De l’Autrefois.» (Les Hautaines)
La bonne chère
Évidemment…
Bibliographie de Marcel Rouff :
La Première d’Hernani, à-propos… Paris : libr. impr. réunies , 1895, 22 p.
Les hautaines, poésies, Paris : P. Ollendorff , 1896, VIII-112 p. – Préfacier : Armand Silvestre (1837-1901)
La Grande Angoisse. Les Pèlerins, Paris : P. Ollendorff, 1899, In-18, 339 p.
Les Moulins à vent, Comédie en 1 acte, en vers… Lausanne : imp. réunies , 1919, 23 p.
La Vie et la passion de Dodin-Bouffant, Paris, Société littéraire de France, 1920, in-12, 99 p. 1ère édition. puis La Vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet, (5 chapitres supplémentaires) Paris : Delamain, Boutelleau et Cie , 1924, In-8°, 271 p., ill. coul. de Joseph Hémard – rééd. 1970, L’age d’homme coll. Poche Suisse : Montreux, 1990, 2010
Curnonsky (1872-1956) et Marcel Rouff. La France gastronomique. Guide des merveilles culinaires et des bonnes auberges françaises, Paris, impr.- Frédéric Rouff, éditeurs, 148, rue de Vaugirard ,1921-1928, 28 volumes
1921 (5 vol) L’Alsace 127 p. – La Normandie, 128 p. – Le Périgord, 128 p.- La Bresse, Le Bugey. Le Pays de Gex , In-16, 127 p – L’Anjou, 128 p.
1922 (5 vol) Le Béarn 128 p. – La Provence, 128 p – Paris 1 du Ier au VIIe arrondissement. – Paris 2 du VIIIe au XXe arrondissement – La Touraine, 112 p.
1923 (3 vol) La Bourgogne, 143 p. – La Bretagne, 128 p. – La Savoie, 128 p.
1924 (5 vol) Environs de Paris.I. (Seine, Seine et Oise et Oise), – Environs de Paris.II (Seine-et-Marne et Aisne) – Le Poitou La Vendée, 112 p. – L’Aunis. La Saintonge. L’Angoumois, 112 p. – Bordeaux. Le Bordelais et les Landes, 125 p.
1925 (3 vol) Lyon et le Lyonnais (2 vol.) – Le Maine et le Perche, 112 p.
1926 (3 vol) La Franche-Comté, 128 p. – Le Nivernais et le Bourbonnais, 128 p.- L’Orléanais ,128 p.
1927 (1 vol) Le Vivarais, le Rouergue et le Gévaudan, 112 p.
1928 ( 2 vol) Le Dauphiné, 105 p – Le Roussillon, Le Comté de Foix, 97 p
Ce qui plane sur la ville, 1921, In-16, 128 p.
Les Mines de charbon en France au XVIIIe siècle, 1744-1791, étude d’histoire économique et sociale, 1922
Voyage au monde à l’envers, Paris : G. Crès , 1923, In-16, 216 p.
L’Homme que l’amour empêcha d’aimer, suivi de Un coq survint, Paris : éditions du « Sagittaire » , 1924, In-16, 214 p.
L’Homme et la montagne. – Paris, Émile-Paul frères, 1924, Petit in 8, broché 303 p., 1ère édition, coll. « Edmond Jaloux ».(nombreuses rééditions)
Au Grand Léonard, le dernier roman de Marcel Rouff – 1934
Guinoiseau, ou le Moyen de ne pas parvenir, roman, Paris : Stock, Delamain et Boutelleau, 1926 In-16, 304 p.
Les Temps révolus. Sur le quai Wilson, roman, Paris, Emile-Paul frères , 1926, Collection Edmond Jaloux, In-16, II-309 p.
Les Temps révolus. Les Étranglés, roman, 1927
Les Devoirs de l’amitié, nouvelles, Paris : « les Cahiers de Paris » , 1927, 96 p.
Jubabau, roman, Paris : éditions Émile-Paul frères, 1928, In-16, 285 p.
Anaïs, ou l’Heure des élites, Mayenne : Impr. Floch, 1928, 229 p.
La Vie de Chateaubriand, Paris : libr. Gallimard , 1929. In-16, 325 p., (Vies des hommes illustres, n° 25)
L’Homme de cinquante ans, Paris : la « Nouvelle revue critique », 1929, 221 p. 25
La Vie de fête sous le second Empire. Hortense Schneider, avec Thérèse Casevitz (1879-1970), Paris : éditions Jules Tallandier, 1930, In-16, 223 p.
La Peau peinte, roman, Paris : la « Nouvelle revue critique » , 1930, 253 p.
Dans l’Atlas… une nuit, roman, Paris : Baudinière, 1932, In-16, 285 p.
La confession du Pacifique, roman, Paris : A. Fayard et Cie , 1933 (Les œuvres libres CXLIX)
Au Grand Léonard : dames, messieurs indéfrisables, roman de fantoches, Paris : Ed. de la « Nouvelle revue critique », 1934, 251 p.
Vous qui l’avez connue … nouvelle inédite, Paris : A. Fayard et Cie , 1934, 1 vol. (379 p.) contenant 6 pièces et nouvelles
Éloge de Honoré de Balzac, Mâcon : impr. Protat frères , 1939, 8 p. (éloge prononcé à l’Académie des Gastronomes).
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